La deuxième édition du Colloque International sur le soufisme a démarré ce samedi à Dakar, sous la présidence effective du Premier ministre Mahammed Boun Abdalah DIONNE. Quatorze pays ont été représentés à cette cérémonie d’ouverture au cours de laquelle le Premier ministre a délivré «le message d’attachement profond du Président de la République Macky SALL aux valeurs religieuses», aux représentants des différentes familles religieuses et des délégations venues d’un partout à travers le monde.
Ainsi, Serigne Bass Abdou Khadre M'backé, représentant le khalife Général des mourides est revenu sur les enseignements qui peuvent garantir les éléments permettant à la Oumah islamique de retrouver son rôle moral et spirituel : «la purification de l’âme». Il s’agit pour lui, d’un Consensus des savants sur la nécessité de se référer aux enseignements de l’Islam.
Conformément au thème qui est retenu cette année : «Le Rôle et la place du soufisme dans la Oumah islamique», Cheikh Abdou Lahad M'backé, président de la Commission communication chargé de l’organisation du Magal de Touba a relevé qu’à un moment donné de l’histoire, face à une crise économique, politique, sociale, de l’environnement, de la santé, «nous devons tous faire une introspection pour essayer de trouver des solutions. Nous devons nous remettre tous en question; ce ne sont pas seulement les hommes politiques qui doivent le faire», a-t- il souligné.
Le colloque se poursuit à Touba jusqu’au mercredi 26 novembre 2014...
Ainsi, Serigne Bass Abdou Khadre M'backé, représentant le khalife Général des mourides est revenu sur les enseignements qui peuvent garantir les éléments permettant à la Oumah islamique de retrouver son rôle moral et spirituel : «la purification de l’âme». Il s’agit pour lui, d’un Consensus des savants sur la nécessité de se référer aux enseignements de l’Islam.
Conformément au thème qui est retenu cette année : «Le Rôle et la place du soufisme dans la Oumah islamique», Cheikh Abdou Lahad M'backé, président de la Commission communication chargé de l’organisation du Magal de Touba a relevé qu’à un moment donné de l’histoire, face à une crise économique, politique, sociale, de l’environnement, de la santé, «nous devons tous faire une introspection pour essayer de trouver des solutions. Nous devons nous remettre tous en question; ce ne sont pas seulement les hommes politiques qui doivent le faire», a-t- il souligné.
Le colloque se poursuit à Touba jusqu’au mercredi 26 novembre 2014...
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