La journée mondiale contre les violences faites aux femmes est célébrée partout dans le monde ce 25 Novembre 2020. Le Sénégal va ainsi avoir l'occasion de donner ses chiffres qui prouvent que la situation est de nos jours très préoccupante.
Hier, au lancement de la campagne des "16 jours d'activisme", la ministre de la femme, de la famille, du genre et de la protection des enfants s'est encore montrée très déterminée à lutter contre ces violences basées sur le genre.
Le comité de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles a dénombré entre le mois de mars et d'octobre, 45 cas de violences basées sur le genre. Une situation très inquiétante et qui demande de corser les mesures, notamment la loi sur la criminalisation du viol et de la pédophilie.
Pour Penda Seck Diouf, présidente du comité national de lutte contre les violences faites aux femmes, "le constat est là : les violences faites aux femmes sont les moins punies. Ce qui demande alors d'accélerer la vulgarisation de la loi 2020-05 du 10 janvier 2020 portant criminalisation du viol et de la pédophilie".
Par ailleurs, Mme Diouf estime que "la covid-19 n'est pas un facteur à écarter si l'on se refère sur la période où ces actes ont été le plus remarqués. "Pendant la période allant de mars à octobre, les formes de violence se sont multipliées..."
Hier, au lancement de la campagne des "16 jours d'activisme", la ministre de la femme, de la famille, du genre et de la protection des enfants s'est encore montrée très déterminée à lutter contre ces violences basées sur le genre.
Le comité de lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles a dénombré entre le mois de mars et d'octobre, 45 cas de violences basées sur le genre. Une situation très inquiétante et qui demande de corser les mesures, notamment la loi sur la criminalisation du viol et de la pédophilie.
Pour Penda Seck Diouf, présidente du comité national de lutte contre les violences faites aux femmes, "le constat est là : les violences faites aux femmes sont les moins punies. Ce qui demande alors d'accélerer la vulgarisation de la loi 2020-05 du 10 janvier 2020 portant criminalisation du viol et de la pédophilie".
Par ailleurs, Mme Diouf estime que "la covid-19 n'est pas un facteur à écarter si l'on se refère sur la période où ces actes ont été le plus remarqués. "Pendant la période allant de mars à octobre, les formes de violence se sont multipliées..."
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