« Cette campagne "Nos vacances pour l’école" est un cadre d’échanges entre les différents acteurs de l’éducation. L’objectif c’est pour anticiper les difficultés potentielles pour que ces vacances puissent servir à trouver de manière consensuelle des solutions ou d’indiquer des pistes de solution pour avoir une année scolaire apaisée, stable et performante. » Tel est l’esprit de la campagne lancée ce mardi 14 septembre 2021, a souligné Cheikh Mbow, directeur exécutif de la Cosydep.
À l’ouverture de cette quatrième édition, dont le premier thème des quatre panels prévus porte sur « analyse des résultats scolaires 2021 », Cheikh Mbow précise que ces rencontres portent sur la résilience du système. « Face à cette pandémie, nous devons interroger la résilience du système éducatif. Comprendre aussi que la performance du système éducatif va au-delà de la classe. L’environnement des apprentissages doit être remis en cause. Car 40% des écoles sont sans bloc sanitaire, 2/3 des écoles ont un problème d’eau potable, des écoles qui ne sont pas sécurisée. »
« La Covid nous a permis de savoir que nous devons faire plus d’efforts pour réduire les effectifs pléthoriques dans nos établissements. Aller dans le sens d’élargir la carte scolaire avec une augmentation du nombre d’enseignants car le gap est de 40.000 enseignants. La Covid a certes bouleversé les enseignements-apprentissage mais elle nous a permis de faire un bilan pour voir où se trouvent nos difficultés », fait savoir le directeur exécutif de la Cosydep...
À l’ouverture de cette quatrième édition, dont le premier thème des quatre panels prévus porte sur « analyse des résultats scolaires 2021 », Cheikh Mbow précise que ces rencontres portent sur la résilience du système. « Face à cette pandémie, nous devons interroger la résilience du système éducatif. Comprendre aussi que la performance du système éducatif va au-delà de la classe. L’environnement des apprentissages doit être remis en cause. Car 40% des écoles sont sans bloc sanitaire, 2/3 des écoles ont un problème d’eau potable, des écoles qui ne sont pas sécurisée. »
« La Covid nous a permis de savoir que nous devons faire plus d’efforts pour réduire les effectifs pléthoriques dans nos établissements. Aller dans le sens d’élargir la carte scolaire avec une augmentation du nombre d’enseignants car le gap est de 40.000 enseignants. La Covid a certes bouleversé les enseignements-apprentissage mais elle nous a permis de faire un bilan pour voir où se trouvent nos difficultés », fait savoir le directeur exécutif de la Cosydep...
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