L’ancien Chef de la diplomatie Sénégalaise, envoyé spécial et représentant du secrétaire général de l’Onu en Centrafrique, a fait face à la presse locale à Bangui. La présidentielle est prévue dimanche. Une occasion toute trouvée pour faire le bilan du processus électoral. Le 25 décembre, est la date clôture de la campagne électorale dont l’élection est prévue dimanche, le 27 décembre.
« Depuis un an, la Minusma est en Centrafrique pour accompagner le gouvernement. Nous avons pu récolter les 21 millions de dollars pour la tenue du scrutin général. Il reste les élections locales en 2021. Malgré les importants défis sécuritaires, les autorités ont acheminé tous les documents sur l’étendue du territoire national », fait-il savoir.
Mais la détermination de l’ancien président centrafricain recalé a été l’objet du point de presse de Mankeur Ndiaye. "François Bozizé est allé à la rencontre de Katime, leader d’un groupe armé, trois jours avant la publication des listes des candidats avec d’autres chefs rebelles pour saboter le processus électoral, faire tomber le président avant le 27 décembre. C’est leur objectif. Nous faisons face à toutes ces attaques."
"Malgré tout, nous avons pu franchir toutes les étapes du processus électoral. Nous avons parlé à tout le monde pour que le processus électoral soit pacifique, inclusif pour que l’élection se passe dans la paix et dans la sérénité, c’est la mission du G5 plus qui a rencontré 15 sur les 17 candidats. Le processus électoral est à sa dernière phase », note le représentant de l’Onu en Centrafrique.
Néanmoins, il ajoute que « nous savons la détermination des assaillants. Ils ont multiplié les attaques que la communauté internationale condamne et appelant à la cessation des hostilités, nous sommes en état d’alerte. Nous avons reçu un renfort de plus de 300 soldats Rwandais, nous attendons des avions militaires pour renforcer les moyens de la mission », conclut le missionnaire de l'Onu.
« Depuis un an, la Minusma est en Centrafrique pour accompagner le gouvernement. Nous avons pu récolter les 21 millions de dollars pour la tenue du scrutin général. Il reste les élections locales en 2021. Malgré les importants défis sécuritaires, les autorités ont acheminé tous les documents sur l’étendue du territoire national », fait-il savoir.
Mais la détermination de l’ancien président centrafricain recalé a été l’objet du point de presse de Mankeur Ndiaye. "François Bozizé est allé à la rencontre de Katime, leader d’un groupe armé, trois jours avant la publication des listes des candidats avec d’autres chefs rebelles pour saboter le processus électoral, faire tomber le président avant le 27 décembre. C’est leur objectif. Nous faisons face à toutes ces attaques."
"Malgré tout, nous avons pu franchir toutes les étapes du processus électoral. Nous avons parlé à tout le monde pour que le processus électoral soit pacifique, inclusif pour que l’élection se passe dans la paix et dans la sérénité, c’est la mission du G5 plus qui a rencontré 15 sur les 17 candidats. Le processus électoral est à sa dernière phase », note le représentant de l’Onu en Centrafrique.
Néanmoins, il ajoute que « nous savons la détermination des assaillants. Ils ont multiplié les attaques que la communauté internationale condamne et appelant à la cessation des hostilités, nous sommes en état d’alerte. Nous avons reçu un renfort de plus de 300 soldats Rwandais, nous attendons des avions militaires pour renforcer les moyens de la mission », conclut le missionnaire de l'Onu.
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