DAKARACTU.COM - Après le constat de la recrudescence de la violence dans la partie sud du pays, le mouvement SOS Casamance est sorti de son mutisme pour crier son exaspération face à ce regain de tension. Il plaide pour la paix, rien que la paix, en Casamance en invitant l’Etat et les rebelles autour de la table des négociations.
Inadmissible, préoccupante et inquiétante ! Voilà comment est décrite la situation qui irrite la section française de SOS Casamance qui ne demande ni plus ni moins que le retour d’une paix définitive et pérenne dans la région sud du pays. Amadou Sylla se désole que ce soient essentiellement les populations civiles qui paient le prix fort de cette insécurité grandissante. C’est pourquoi il demande à « l'Etat du Sénégal de prendre immédiatement toutes les mesures idoines pour relancer le processus des négociations avec le MFDC, en y associant toutes les organisations de la société civile œuvrant pour la paix en Casamance ». Car, se convainc-t-il, cette situation de violence constatée depuis quelques jours n'est rien d'autre qu’une conséquence directe de l'absence de dialogue et de perspective en direction de la paix. La section française de SOS Casamance insiste en plaidant en urgence pour une reprise de contact rapide entre l’Etat avec ceux qui incarnent la Casamance en guerre. Et conclut que le conflit social en Casamance, qui a éclaté en décembre 1982, n’a que trop duré et imposé à la nation sénégalaise beaucoup de sacrifices humains et matériels. Il est temps d'arriver à la solution définitive de ce conflit, dans l'intérêt supérieur de la nation toute entière.
Inadmissible, préoccupante et inquiétante ! Voilà comment est décrite la situation qui irrite la section française de SOS Casamance qui ne demande ni plus ni moins que le retour d’une paix définitive et pérenne dans la région sud du pays. Amadou Sylla se désole que ce soient essentiellement les populations civiles qui paient le prix fort de cette insécurité grandissante. C’est pourquoi il demande à « l'Etat du Sénégal de prendre immédiatement toutes les mesures idoines pour relancer le processus des négociations avec le MFDC, en y associant toutes les organisations de la société civile œuvrant pour la paix en Casamance ». Car, se convainc-t-il, cette situation de violence constatée depuis quelques jours n'est rien d'autre qu’une conséquence directe de l'absence de dialogue et de perspective en direction de la paix. La section française de SOS Casamance insiste en plaidant en urgence pour une reprise de contact rapide entre l’Etat avec ceux qui incarnent la Casamance en guerre. Et conclut que le conflit social en Casamance, qui a éclaté en décembre 1982, n’a que trop duré et imposé à la nation sénégalaise beaucoup de sacrifices humains et matériels. Il est temps d'arriver à la solution définitive de ce conflit, dans l'intérêt supérieur de la nation toute entière.
Autres articles
-
Coopération bilatérale : Le chef de l’Etat Bassirou Diomaye Faye se rend en Guinée Bissau ce mardi
-
Foncier: L’Etat du Sénégal ordonne la suspension des demandes de baux à Dakar, M’bour, Thies et Saint-Louis
-
[🛑DIRECT / DUPLEX] OPEN PRESS Alassane Djigo : Eumeu Séne et Pokola Baldé font le show à Pikine !
-
Accident au Rond-Point EMG: Capitaine Aissatou Keita des sapeurs fait le bilan!
-
Grève à DDD/ Le DG se prononce : « Je ne vois pas les raisons fondées de ce mouvement d’humeur »