Une histoire d'homosexualité a défrayé la chronique, hier, à l'Université de Dakar (Ucad). En effet, un étudiant en 1er année de la Faculté des Lettres, a tenté de séduire un de ses camarades, au moment où ce dernier prenait sa douche. Les faits se sont passés au campus social et les choses, comme il fallait s’y attendre, ont dégénéré. Car, maîtrisé par la victime, l'homo a échappé à un lynchage des apprenants de l'Ucad frustrés par un tel comportement et qui ont voulu lui faire la fête. Il a fallu l'intervention de la police avec le Gmi et les éléments de la Brigade d'intervention polyvalente (Bip), pour qu'il soit exfiltré. Puisque suite à cet acte, l’homo a été séquestré pendant 2 bonnes heures par les étudiants en rage.
La victime, en revenant sur les faits, déclare : « Je suis entré dans les toilettes pour prendre ma douche. Et c’est au moment où je refermais la porte qu’il l’a entrouvert pour me dire de ne pas fermer. Il a alors souri et j'ai remarqué sa dent blanche en argent. C’est un jeune homme qui a les cheveux lisses. Avant même que je n’y comprenne quoi que ce soit, il a commencé à me caresser. Face à ma réaction outrée, il m'a dit : « j'ai envie de toi, je te sens ». C’est alors que la victime a réagi violemment en plaquant son séducteur contre le mur. Ensuite, d’autres étudiants qui étaient dans les parages sont venus en renfort et ont aidé la victime à neutraliser l’homo qui le supplie de ne pas le dénoncer. Les étudiants qui n’en croyaient ni leurs yeux, ni leurs oreilles ont ensuite vérifié pour savoir si cet homosexuel était bien un étudiant.
Et en le fouillant, ils ont trouvé sur lui sa carte d’étudiant qui montre qu’il s’est inscrit à la Faculté des Lettres et Sciences humaines cette année. La suite est connue. L’homo a été enfermé dans une chambre par les étudiants pendant des heures et il y a passé un mauvais quart d’heure. Au bout du compte, pour éviter qu’il ne soit tué, la police est intervenue. Sous une pluie de grenades lacrymogènes des éléments du Gmi, une unité d’élite de la police spécialisée dans les prises d’otages de la Bip a fait le job pour le sortir des griefs des étudiants. Il a été ensuite embarqué dans un véhicule 4X4 blindé de la Bip pour être exfiltré. Les étudiants ont alors poursuivi le véhicule 4X4 escorté par un autre pick-up de la police à coups de pierre, le tout sous les tirs de lacrymogènes du Gmi. Déçue de ne pas pouvoir régler son compte à ce « goorjigeen », l’immense foule d’étudiants s’est repliée vers le cyber Sinkou, espace que le jeune étudiant homo fréquente pour le mettre à sac. Tout ou presque y a été cassé.
La victime, en revenant sur les faits, déclare : « Je suis entré dans les toilettes pour prendre ma douche. Et c’est au moment où je refermais la porte qu’il l’a entrouvert pour me dire de ne pas fermer. Il a alors souri et j'ai remarqué sa dent blanche en argent. C’est un jeune homme qui a les cheveux lisses. Avant même que je n’y comprenne quoi que ce soit, il a commencé à me caresser. Face à ma réaction outrée, il m'a dit : « j'ai envie de toi, je te sens ». C’est alors que la victime a réagi violemment en plaquant son séducteur contre le mur. Ensuite, d’autres étudiants qui étaient dans les parages sont venus en renfort et ont aidé la victime à neutraliser l’homo qui le supplie de ne pas le dénoncer. Les étudiants qui n’en croyaient ni leurs yeux, ni leurs oreilles ont ensuite vérifié pour savoir si cet homosexuel était bien un étudiant.
Et en le fouillant, ils ont trouvé sur lui sa carte d’étudiant qui montre qu’il s’est inscrit à la Faculté des Lettres et Sciences humaines cette année. La suite est connue. L’homo a été enfermé dans une chambre par les étudiants pendant des heures et il y a passé un mauvais quart d’heure. Au bout du compte, pour éviter qu’il ne soit tué, la police est intervenue. Sous une pluie de grenades lacrymogènes des éléments du Gmi, une unité d’élite de la police spécialisée dans les prises d’otages de la Bip a fait le job pour le sortir des griefs des étudiants. Il a été ensuite embarqué dans un véhicule 4X4 blindé de la Bip pour être exfiltré. Les étudiants ont alors poursuivi le véhicule 4X4 escorté par un autre pick-up de la police à coups de pierre, le tout sous les tirs de lacrymogènes du Gmi. Déçue de ne pas pouvoir régler son compte à ce « goorjigeen », l’immense foule d’étudiants s’est repliée vers le cyber Sinkou, espace que le jeune étudiant homo fréquente pour le mettre à sac. Tout ou presque y a été cassé.
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