Rien que pour l’agglomération de Dakar, ils sont présentement 1324 personnes usagers d’héroïne, de cocaïne et de drogue injectable recensées. Un chiffre alarmant qui fait de la lutte contre la drogue un sacerdoce préoccupant et difficile à gérer.
L’étude est du centre public de réduction des risques d’Afrique de l’Ouest ( OSIWA). Dans un film réalisé par la structure au Sénégal, il est clairement déclaré que l’Afrique est une zone traditionnelle de production du cannabis mais aussi une zone de transit de l’héroïne Asiatique et de la cocaïne Américaine. Pire, le continent s’est érigé en base et en marché local florissant pour ces drogues. Une situation effarante qui requiert la mise en place de structures de rééducation et de réintégration des malades comme le centre de prise en charge intégré des Addictions du Sénégal.
MÉTHODES ÉTONNANTES ET EFFICACES
La mise en place du centre de prise en charge intégré des Addictions et la création d’un centre interministériel de lutte contre la drogue ( CILD) sont d’un apport essentiel pour la lutte contre l’utilisation de la drogue. Étant entendu que la drogue injectable participe beaucoup à augmenter le taux de prévalence du Sida, il est préconisé la mise à la disposition des dépendants de seringues… « Les nécessités prévalent sur les interdits » dira-t-on, pour justifier la méthode. Il s’agit d’une assistance dite « médico-sociale » qui prend en compte des paramètres multiples et divers et qui visent à l’intégration progressive du malade dans la société. Cette approche préconise aussi la fin de la stigmatisation. Au Sénégal, la lutte semble générer des résultats acceptables, selon Osiwa...
L’étude est du centre public de réduction des risques d’Afrique de l’Ouest ( OSIWA). Dans un film réalisé par la structure au Sénégal, il est clairement déclaré que l’Afrique est une zone traditionnelle de production du cannabis mais aussi une zone de transit de l’héroïne Asiatique et de la cocaïne Américaine. Pire, le continent s’est érigé en base et en marché local florissant pour ces drogues. Une situation effarante qui requiert la mise en place de structures de rééducation et de réintégration des malades comme le centre de prise en charge intégré des Addictions du Sénégal.
MÉTHODES ÉTONNANTES ET EFFICACES
La mise en place du centre de prise en charge intégré des Addictions et la création d’un centre interministériel de lutte contre la drogue ( CILD) sont d’un apport essentiel pour la lutte contre l’utilisation de la drogue. Étant entendu que la drogue injectable participe beaucoup à augmenter le taux de prévalence du Sida, il est préconisé la mise à la disposition des dépendants de seringues… « Les nécessités prévalent sur les interdits » dira-t-on, pour justifier la méthode. Il s’agit d’une assistance dite « médico-sociale » qui prend en compte des paramètres multiples et divers et qui visent à l’intégration progressive du malade dans la société. Cette approche préconise aussi la fin de la stigmatisation. Au Sénégal, la lutte semble générer des résultats acceptables, selon Osiwa...
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