Après avoir présenté ses excuses, Jeune Afrique s’explique : « Avec ce dessin, notre intention n’était pas de blesser qui que ce soit, et encore moins de porter atteinte à la figure vénérée par de nombreux fidèles de Cheikh Ahmadou Bamba, mais de dénoncer la bêtise de ceux qui ne font pas la différence entre un caftan et une robe, avec toutes les déductions faciles et infondées qui pourraient en découler. Une simple analogie humoristique avec l’affaire Waly Seck. »
Autrement dit, comme un cheveu dans la soupe, il fallait profiter du sac féminin de Wally Ballago pour donner une leçon de stylisme. Apprendre aux lecteurs que le caftan n’avait rien à voir avec la robe. Et parlant de caftan, celui de Cheikh Ahmadou Bamba porté il y a plus d’un siècle, était à leurs yeux, le mieux adapté à la situation.
Ces explications paraissent bizarres et un peu tirés par les cheveux. Mais une faute avouée est à moitié pardonnée, disait l’autre...
Autrement dit, comme un cheveu dans la soupe, il fallait profiter du sac féminin de Wally Ballago pour donner une leçon de stylisme. Apprendre aux lecteurs que le caftan n’avait rien à voir avec la robe. Et parlant de caftan, celui de Cheikh Ahmadou Bamba porté il y a plus d’un siècle, était à leurs yeux, le mieux adapté à la situation.
Ces explications paraissent bizarres et un peu tirés par les cheveux. Mais une faute avouée est à moitié pardonnée, disait l’autre...
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