Le match : 6-1
Trois semaines après avoir réalisé l'un des plus gros exploits de son histoire, le PSG a vécu l'un de ses pires cauchemars. Vainqueur autoritaire à Paris au match aller (4-0), le club champion de France s'est sabordé au Camp Nou, ce mercredi, pour concéder une défaite mémorable (1-6), qui l'élimine de fait en huitièmes de finale de la Ligue des champions. À deux minutes de la fin du temps réglementaire, les Parisiens avaient encore pourtant de la marge. Le but inscrit par Edinson Cavani (62e) leur offrait un crédit. Mais de façon incrompréhensible, les joueurs d'Unai Emery ont continué de reculer. Et ce qui devait arriver, arriva. Ils ont été punis.
Dès les premiers instants de la rencontre, le PSG n'a pas semblé à l'aise. Pourtant assis sur un matelas confortable, il a joué très bas et s'est aussitôt exposé aux attaques catalanes. Très vite, un premier but de Suarez (3e) est intervenu, sur une erreur collective. Le deuxième, juste avant la mi-temps, par Kurzawa contre son camp (40e), peut aussi être imputé à Marquinhos, coupable d'une mauvaise couverture de balle. Le pire dans tout ça, c'est que Messi semblait encore absent, comme à Paris. Mais le génie argentin s'est réveillé après la pause pour réduire encore l'écart, sur un penalty offert par Meunier (50e).
Á 3-0, on donnait alors peu de chances aux Parisiens, complètement perdus et désorganisés, de se qualifier. Mais l'espoir est revenu grâce son buteur providentiel, Edinson Cavani. À la réception d'un coup franc rapidement joué, comme à Marseille, et d'une remise de Kurzawa, l'Uruguayen a cru marquer le but suffisant pour envoyer les siens en quarts (64e). Tout le monde l'a cru. Le Barça devait alors presque tout recommencer... Le stade a commencé à se vider. Ceux qui sont partis n'ont pas vu l'occasion incroyable manquée par Di Maria (85e). Ils n'ont pas assisté surtout à l'impensable retournement de situation qui s'est produit dans le temps additionnel. Neymar par deux fois (90e+1 et 90e+5) puis Sergi Roberto (90e+5) ont mis Paris K.-O. Il aura beaucoup de mal à s'en relever.
Le joueur : Neymar y a cru jusqu'au bout
Déjà le Barcelonais le plus dangereux à l'aller, le moins mauvais en tout cas, Neymar est l'homme grâce auquel le Barça peut dire aujourd'hui qu'il jouera les quarts de finale de la Ligue des champions pour la dixième année consécutive. Sans le Brésilien, le club blaugrana n'y serait pas arrivé. Non seulement, à deux reprises dans le temps additionnel, c'est lui a qui a marqué, d'un coup franc sublime et sur un penalty qu'il a lui-même obtenu. Mais en plus sur la dernière action, c'est encore lui qui offre la balle de qualification à Sergi Roberto. Le Barça peut lui dire merci.
Trois semaines après avoir réalisé l'un des plus gros exploits de son histoire, le PSG a vécu l'un de ses pires cauchemars. Vainqueur autoritaire à Paris au match aller (4-0), le club champion de France s'est sabordé au Camp Nou, ce mercredi, pour concéder une défaite mémorable (1-6), qui l'élimine de fait en huitièmes de finale de la Ligue des champions. À deux minutes de la fin du temps réglementaire, les Parisiens avaient encore pourtant de la marge. Le but inscrit par Edinson Cavani (62e) leur offrait un crédit. Mais de façon incrompréhensible, les joueurs d'Unai Emery ont continué de reculer. Et ce qui devait arriver, arriva. Ils ont été punis.
Dès les premiers instants de la rencontre, le PSG n'a pas semblé à l'aise. Pourtant assis sur un matelas confortable, il a joué très bas et s'est aussitôt exposé aux attaques catalanes. Très vite, un premier but de Suarez (3e) est intervenu, sur une erreur collective. Le deuxième, juste avant la mi-temps, par Kurzawa contre son camp (40e), peut aussi être imputé à Marquinhos, coupable d'une mauvaise couverture de balle. Le pire dans tout ça, c'est que Messi semblait encore absent, comme à Paris. Mais le génie argentin s'est réveillé après la pause pour réduire encore l'écart, sur un penalty offert par Meunier (50e).
Á 3-0, on donnait alors peu de chances aux Parisiens, complètement perdus et désorganisés, de se qualifier. Mais l'espoir est revenu grâce son buteur providentiel, Edinson Cavani. À la réception d'un coup franc rapidement joué, comme à Marseille, et d'une remise de Kurzawa, l'Uruguayen a cru marquer le but suffisant pour envoyer les siens en quarts (64e). Tout le monde l'a cru. Le Barça devait alors presque tout recommencer... Le stade a commencé à se vider. Ceux qui sont partis n'ont pas vu l'occasion incroyable manquée par Di Maria (85e). Ils n'ont pas assisté surtout à l'impensable retournement de situation qui s'est produit dans le temps additionnel. Neymar par deux fois (90e+1 et 90e+5) puis Sergi Roberto (90e+5) ont mis Paris K.-O. Il aura beaucoup de mal à s'en relever.
Le joueur : Neymar y a cru jusqu'au bout
Déjà le Barcelonais le plus dangereux à l'aller, le moins mauvais en tout cas, Neymar est l'homme grâce auquel le Barça peut dire aujourd'hui qu'il jouera les quarts de finale de la Ligue des champions pour la dixième année consécutive. Sans le Brésilien, le club blaugrana n'y serait pas arrivé. Non seulement, à deux reprises dans le temps additionnel, c'est lui a qui a marqué, d'un coup franc sublime et sur un penalty qu'il a lui-même obtenu. Mais en plus sur la dernière action, c'est encore lui qui offre la balle de qualification à Sergi Roberto. Le Barça peut lui dire merci.
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