Un ami l'a rencontré mardi soir. Le présumé terroriste a admis sa participation à l'attaque des terrasses.
Recherché par l'Europe entière, Salah Abdeslam serait... à Molenbeek. C'est ce qu'a révélé une "source" à Sudpresse. Le quotidien évoque ce jeudi la rencontre entre cette personne et l'ennemi public numéro 1, dans la nuit de mardi à mercredi.
"Salah est à Molenbeek. Je l'ai rencontré. Il est là, mais plus pour longtemps", évoque-t-elle, disant avoir été contacté par l'entourage du fugitif, dans le but de faire passer un message. Ce dernier bénéficierait de soutiens pour se cacher.
"Il m'a dit qu'il avait été trop loin. Il a été dépassé par ce qui se passait", mais il refuserait de se rendre, "cela pourrait avoir des conséquences pour sa famille". Selon son confident mystère, Salah Abdeslam reconnaît avoir participé aux attaques de vendredi.
Il a loué les véhicules (ce qui est avéré, ndlr), des appartements et conduisait la Seat Leon noire retrouvée à Montreuil du "commando terrasses" au terme duquel Brahim s'est fait sauter.
"Mais ce n'est pas lui qui a tiré sur les victimes assises en terrasse". Reste à déterminer le degré de véracité et surtout l'objectif de ce genre de confessions, alors qu'Abdeslam se sait recherché. Le quotidien évoque des détails qui "ajoutent à la crédibilité" du récit.
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Recherché par l'Europe entière, Salah Abdeslam serait... à Molenbeek. C'est ce qu'a révélé une "source" à Sudpresse. Le quotidien évoque ce jeudi la rencontre entre cette personne et l'ennemi public numéro 1, dans la nuit de mardi à mercredi.
"Salah est à Molenbeek. Je l'ai rencontré. Il est là, mais plus pour longtemps", évoque-t-elle, disant avoir été contacté par l'entourage du fugitif, dans le but de faire passer un message. Ce dernier bénéficierait de soutiens pour se cacher.
"Il m'a dit qu'il avait été trop loin. Il a été dépassé par ce qui se passait", mais il refuserait de se rendre, "cela pourrait avoir des conséquences pour sa famille". Selon son confident mystère, Salah Abdeslam reconnaît avoir participé aux attaques de vendredi.
Il a loué les véhicules (ce qui est avéré, ndlr), des appartements et conduisait la Seat Leon noire retrouvée à Montreuil du "commando terrasses" au terme duquel Brahim s'est fait sauter.
"Mais ce n'est pas lui qui a tiré sur les victimes assises en terrasse". Reste à déterminer le degré de véracité et surtout l'objectif de ce genre de confessions, alors qu'Abdeslam se sait recherché. Le quotidien évoque des détails qui "ajoutent à la crédibilité" du récit.
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