Assasinat de Bassirou Faye : La vérité va t-elle éclater au grand jour?


Assasinat de Bassirou Faye : La vérité va t-elle éclater au grand jour?
DAKARACTU.COM   En tout cas, nos sources au fait des évènements tragiques qui ont conduit à la mort de l'étudiant Bassirou Faye s'accordent à nous révéler que les enquêteurs de la Division des Investigations Criminelles (DIC) ne dorment pratiquement plus du sommeil du juste. 
Aux dernières nouvelles, la famille éplorée qui avait refusé dans un premier temps que la police ne se saisisse de l'affaire du fait des soupçons qui pesaient sur elle, a fini par faire marche arrière sous l'amicale pression de leur avocat Me Assane Dioma N'diaye. En effet, ce dernier aurait joué les bons offices entre la famille du disparu et la Division des Investigations Criminelles chargée de l'enquête, et a fini de convaincre ses clients de leur nécessaire collaboration pour la bonne marche de l'enquête. 
Les enquêteurs, au pas de charge, ont entendu les deux prétendus témoins oculaires, afin de procéder à la reconstitution des faits entre les pavillons E et D de l'Ucad. Semblerait-il, ils ont pu réunir un faisceau d'indices suffisants pour se faire une idée exacte de ce qui s'est passé. Cependant, bon nombre de personnes restent sceptiques du fait de la multitude d'affaires du genre qui n'ont pas connu de dénouement probant.
Déjà que nous avons glané de source proche de l'Establishment que l'on tente d'écarter la piste de la bavure policière au profit de celle de l'infiltration... 
Mardi 19 Août 2014




1.Posté par Verite ignoree le 19/08/2014 10:48
Lundi 2 Juin 2014
Source : http://www.veritedujour.com
Cheikhou Oumar SOW

La volonté du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Mary Teuw Niane, d’engager des ruptures radicales pour la réforme du Supérieur, fait grincer des dents. Le paiement des bourses, question très sensible, a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. D’un budget de 40 milliards en 2012, les allocations boursières ont été limitées à 28 milliards F Cfa par les nouvelles autorités. De quoi susciter le courroux des étudiants. Même si par ailleurs, prés de 4000 boursiers fictifs ont été découverts.

Attaqué de toutes parts: Mary Teuw Niane face à un cocktail explosif

L’enseignement supérieur est un secteur à problèmes. Le Pr Mary Teuw Niane, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, fait l’objet de toutes les critiques sur ses méthodes de gouvernance d’un secteur allergique aux réformes. Les négociations ont tout aussi été houleuses quand il s’est agi de l’application de certaines mesures issues des Concertations nationales sur l’avenir de l’enseignement supérieur (Cnaes). En cette période, le Constitutionnaliste Ismaila Madior Fall, professeur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) devenu ministre conseiller juridique du président de la République, déplorait la façon dont les réformes se sont imposées aux étudiants. De l’avis de cet universitaire, il fallait donner aux étudiants le temps de bien apprécier les réformes pour se préparer en conséquence. Se faisant ainsi l’écho des préoccupations d’une frange d’étudiants qui demandaient un délai d’un an supplémentaire avant d’appliquer les conclusions des réformes prônées au sortir des concertations nationales.

Le Sociologue Malick Ndiaye, ministre-conseiller du chef de l’Etat, semble tirer dans le même sens, en allant jusqu’à réclamer la tête du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche. « La mesure d'apaisement élémentaire serait que le ministre de l'Enseignement qui a fait échec, rende son tablier de lui-même ou qu'il y soit forcé (…) Mary Teuw Niane a mal géré la situation à l'Université. Et quand on est incompétent et qu’à chaque fois on utilise les mesures autoritaires, en poussant le gouvernement ou le président de la République à utiliser des mesures administratives, policières, la voie de la sortie est toute indiquée », a fait savoir le Pr Malick Ndiaye.

Selon le Syndicat autonome des enseignants du supérieur (Saes), « la violence d’où qu’elle vienne, ne saurait sous aucun prétexte, se justifier dans l’espace universitaire. La situation était déjà très tendue à cause d’un grand retard lié au paiement des bourses. » S’y ajoute, selon le Saes, « le problème du master pour tous réclamé par une partie des étudiants et une présence policière dans l’espace universitaire depuis le jeudi 21 novembre 2013, en violation flagrante de la loi 94-79 relative aux franchises universitaires. » Le Saes a donc recommandé le dialogue face à des étudiants qui demandent « le master pour tous », tout en précisant, sur le plan sécuritaire, que « le Saes n’est pas contre l’intervention de la police mais cela ne doit se faire que dans les conditions définies par la loi 94-79. »

De source bien informée, la vérité sur les bourses des étudiants sénégalais, c’est qu’en 2012, l'enveloppe prévue pour les bourses était de 21 milliards. Une rallonge de 19 milliards F Cfa a été, par la suite, accordée parce que le montant initial était insuffisant. Ce qui fait un total de 40 milliards F Cfa. Cette année, le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche a une enveloppe de 28 milliards et quoiqu'il advienne, la consigne est de ne pas dépasser ce montant qui est, visiblement, insuffisant. Pour résoudre cette équation, les autorités, sous couvert des réformes de la Cnaes et d'un plan stratégique, ont décidé de changer les règles du jeu en intégrant de nouveaux critères dans l'attribution des bourses. Ces critères ne sont pas connus des étudiants qui sont actuellement dans le circuit. « De nombreux étudiants pensent qu'il y a un retard concernant leurs bourses mais, en réalité, ils ne la percevront jamais parce que désormais inéligibles au vu des nouveaux critères », selon cette source.

2.Posté par KOUSS le 19/08/2014 11:06
IL FAUT ARRETER AVEC CETTE PLAISANTERIE DE MAUVAIS GOUT. LES EXPERTS BALISTIQUE NOUS DIRONT QUELLE EST LE TYPE D'ARME QUI A TUE BASSIROU ET A PARTIR DE LA DES RECOUPEMENTS SIMPLES PERMETTRONT D'IDENTIFIER LE CRIMINEL. LES POLICIERS QUI ETAIENT ARMES SONT CONNUS DE MEME QUE LE TYPE D'ARME UTILISE PAR NOS FORCES DE SECURITE. CEPENDANT, ET C'EST LA OU LES CHOSES PEUVENT SE COMPLIQUER, NOTAMMENT DANS LE CAS OU LE POLICIER CRIMINEL A UTILISE UNE ARME NON REGLEMENTAIRE POUR TUER ET BROUILLER LES PISTES. PLUS SIMPLEMENT, IL AURAIT UTILISE UNE ARME VENDUE DANS LE MARCHE NOIR ET NON UTILISE PAR LA POLICE. PARLER D'INFILTRATION EST UNE IDIOTIE, QUEL EST L'INFILTRE QUI PRENDRAIT UN TEL RISQUE ET A QUELLE FIN? CE POLICIER DOIT ETRE IDENTIFIE, RADIE ET TRADUIT DEVANT LA COUR D'ASSISES, EN ATTENDANT QU'IL RENDE COMPTE UN JOUR AU SEIGNEUR TOUT PUISSANT. IL FAUT FORMELLEMENT INTERDIRE QUE CETTE FLICAILLE LANCE DES LACRYMOGENES DANS DES CHAMBRES ET SE DECHAINENT CONTRE DES JEUNES DESARMES AVEC AUTANT DE HAINE. FAITES VOTRE JOB MAIS AVEC PROFESSIONNALISME ET HAUTEUR D'ESPRIT.

3.Posté par AL HADJI le 19/08/2014 11:53
Donc les policiers qui sont entrés dans les chambres des étudiants, les malmener, les brutaliser au point de les pousser à sauter de leur fenêtre, eux aussi sont des ...infiltrés. Foutaises !!!!!

4.Posté par papo le 19/08/2014 12:22
Trouvez vite du travail en allant sur le lien suivant: http://JobandPay.com/?id=152222

5.Posté par ABDOU le 19/08/2014 22:10
tous les sénégalais de tout bord ne peut que regretter et partager la mal profond avec la famille du défunt

Mais tous les regards sont figes vers le Ministre et LE Président., sans tenir compte ou envisager un sabotage morbide d'un des principaux opposants qui quotidiennement cherchent les moindres occasions pour jeter de la poussiere noire sur MACKY SALL.
LE COUP DE FEUX QUI A TOUCHE LE JEUNE ETUDIANT PEUT BIEN NE PAS ETRE CELUI D'UN POLICIER , plutot un coup commandite .
TUER UN ETRE HUMAIN pour des fins occultes OU POUR SABOTAGE DU RÉGIME ACTUEL , CADRE FACILEMENT DANS LA LOGIQUE D'ACTION DE BEAUCOUP DE POLITICIENS AIGRIS ,MALADES , OBSÉDER PAR LE DESIR DU POUVOIR.



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