Ce jeudi 21 septembre s'est tenue à la chambre de commerce de Dakar une réunion regroupant tous les acteurs de la filière riz et qui avait pour objet d'évaluer tout ce qui a été mis en oeuvre depuis deux ans pour promouvoir cette céréale locale.
Présidée par le ministre du Commerce, du Secteur informel, de la Consommation, la Promotion des produits locaux et des PME, la rencontre a permis aux acteurs de se parler dans le blanc de l'oeil afin de se féliciter des avancées mais aussi de déceler des manquements. Ainsi, il a été souligné que le comité de régulation et de commercialisation du riz local a fait d'énormes pas allant dans le sens de pousser les opérateurs économiques à acheter le riz local. Ils ont désormais l'obligation d'acheter le riz local disponible dans la plateforme de commercialisation à hauteur de leurs parts de marché. “La mission essentielle de la plateforme, c'est que tout riz disponible sur la plateforme doit être acheté par les importateurs”, rappelle le ministre du Commerce.
Dans le même sillage, Alioune Sarr de souligner que “l'obligation est également faite aux riziers, d'offrir un riz certifié, conforme aux besoins des consommateurs”. A ce niveau, le patron du commerce sénégalais a tenu à préciser que le coût de la certification n'est pas cher puisqu'il ne s'élève qu'à 80 000/mois. “Donc, aucun rizier n'a d'excuse pour ne pas avoir accès à la tierce détention”, avertit le ministre qui est revenu sur les avantages qu'offre la certification aux riziers.
De même, le ministre du Commerce s'est félicité de l'absence de plaintes au sujet de méventes qu'accusait la production rizicole ces dernières années. Ce qui fait dire à Alioune Sarr que le riz sénégalais se vend bien. Une prouesse qu'il attribue à la plateforme mise en place par le gouvernement pour la commercialisation du riz. Au sujet de la promotion du riz entier, le ministre a demandé à la plateforme de faire des propositions dans les prochains jours. Mais dans ce travail, fait noter le ministre, le secteur privé a une grosse part de responsabilité car pour lui, il incombe aux opérateurs de prélever sur une part de leurs chiffres d'affaires aux besoins de publicité. Au cours de la rencontre, des manquements liés au déficit d'information ont été relevés par les opérateurs.
Présidée par le ministre du Commerce, du Secteur informel, de la Consommation, la Promotion des produits locaux et des PME, la rencontre a permis aux acteurs de se parler dans le blanc de l'oeil afin de se féliciter des avancées mais aussi de déceler des manquements. Ainsi, il a été souligné que le comité de régulation et de commercialisation du riz local a fait d'énormes pas allant dans le sens de pousser les opérateurs économiques à acheter le riz local. Ils ont désormais l'obligation d'acheter le riz local disponible dans la plateforme de commercialisation à hauteur de leurs parts de marché. “La mission essentielle de la plateforme, c'est que tout riz disponible sur la plateforme doit être acheté par les importateurs”, rappelle le ministre du Commerce.
Dans le même sillage, Alioune Sarr de souligner que “l'obligation est également faite aux riziers, d'offrir un riz certifié, conforme aux besoins des consommateurs”. A ce niveau, le patron du commerce sénégalais a tenu à préciser que le coût de la certification n'est pas cher puisqu'il ne s'élève qu'à 80 000/mois. “Donc, aucun rizier n'a d'excuse pour ne pas avoir accès à la tierce détention”, avertit le ministre qui est revenu sur les avantages qu'offre la certification aux riziers.
De même, le ministre du Commerce s'est félicité de l'absence de plaintes au sujet de méventes qu'accusait la production rizicole ces dernières années. Ce qui fait dire à Alioune Sarr que le riz sénégalais se vend bien. Une prouesse qu'il attribue à la plateforme mise en place par le gouvernement pour la commercialisation du riz. Au sujet de la promotion du riz entier, le ministre a demandé à la plateforme de faire des propositions dans les prochains jours. Mais dans ce travail, fait noter le ministre, le secteur privé a une grosse part de responsabilité car pour lui, il incombe aux opérateurs de prélever sur une part de leurs chiffres d'affaires aux besoins de publicité. Au cours de la rencontre, des manquements liés au déficit d'information ont été relevés par les opérateurs.
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