Elle en fait un combat de vie. Parce qu’elle ne veut pas que les enfants soient victimes de leur innocence et de leur ignorance pour être laissés à leur sort d’errance dans les rues des villes et villages. Diama Ndiaye, puisque c’est d’elle qu’il s’agit s’est voulue dans son premier opus avocate des enfants de la rue.
«C’est dure ! Ça me frappe et c’est choquant », s’exclame Diama Ndiaye qui fait de l’errance des enfants dans les rues un combat de lutte jusqu’à son extinction…..D’où la chanson «Dafaréér » qu’elle a composé pour justement ramer contre ce phénomène qui foule au pied les droits les plus élémentaires des enfants. «C’est une chanson que j’ai composée pour les enfants de la rue», explique-t-elle non sans revenir sur d’autres sujets comme l’orphelinat avec un morceau dédié, justement aux orphelins, «Bayo ».
Après avoir voyage un peu «partout » dans le monde, Diama Ndiaye a su capitaliser un maximum d’expérience dans la musique. Ce qui fait qu’elle n’a pas hésité à user du mélange entre le mbalax pour exprimer sa «sénégalité » et le roumba congolaise pour un hommage à son autre pays, la RDC où elle a vécu pendant 5 ans longues années à Lumumbashi. Danseuse à la base, elle n’a pas hésité alors pour exprimer ses talents de chanteur avec la parution de ce nouvel opus qui à coup sûr sera aimé des mélomanes…
«C’est dure ! Ça me frappe et c’est choquant », s’exclame Diama Ndiaye qui fait de l’errance des enfants dans les rues un combat de lutte jusqu’à son extinction…..D’où la chanson «Dafaréér » qu’elle a composé pour justement ramer contre ce phénomène qui foule au pied les droits les plus élémentaires des enfants. «C’est une chanson que j’ai composée pour les enfants de la rue», explique-t-elle non sans revenir sur d’autres sujets comme l’orphelinat avec un morceau dédié, justement aux orphelins, «Bayo ».
Après avoir voyage un peu «partout » dans le monde, Diama Ndiaye a su capitaliser un maximum d’expérience dans la musique. Ce qui fait qu’elle n’a pas hésité à user du mélange entre le mbalax pour exprimer sa «sénégalité » et le roumba congolaise pour un hommage à son autre pays, la RDC où elle a vécu pendant 5 ans longues années à Lumumbashi. Danseuse à la base, elle n’a pas hésité alors pour exprimer ses talents de chanteur avec la parution de ce nouvel opus qui à coup sûr sera aimé des mélomanes…
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