Ni résistance ni heurts n'ont été notés une fois que les intégristes ont regagné la capitale Afghane après la conquête, en premier, du Nord du pays pour ensuite terminer vers le sud, terre d'origine et plus facile à dominer. Une situation qui inquiète la communauté internationale qui n'a pas tardé à évacuer les diplomates et ressortissants étrangers. D'ailleurs, les États-Unis ont envoyé des renforts militaires pour sécuriser ces évacuations. Malgré toutes ces entreprises, le président Américain ne cesse d'être sous le feu des critiques.
C'est une Amérique sidérée par cette tournure des événements et la plupart d'entre eux estiment que c'est une véritable gâchis notamment avec cet effort financier colossal qui aura vu le retour des Taliban. Dans la presse Américaine comme dans la scène politique, le président des États-Unis se voit reprocher son action et la chute de Kaboul. En réalité, l'Amérique 'minimise' l'ampleur de cette percée Taliban qui n'a pas attendu longtemps la déclaration de John Kirby, le porte-parole du ministère de la Défense américain qui rassurait que Kaboul n’est pas, à l’heure actuelle, face à une menace imminente.
Une sortie symptomatique de la communication de Joe Biden et de son administration à propos de la stratégie des États-Unis en Afghanistan. Résultat : depuis quelques jours et plus encore ce lundi 16 août, les critiques pleuvent contre le président, alors que les 2.500 soldats américains tués et les 2.000 milliards de dollars américains dépensés en 20 ans pour soutenir les autorités afghanes aujourd’hui en déroute, ressemblent à un immense gâchis.
Plusieurs médias américains comme le New York Times, The Atlantic ou encore d'autres éditorialistes américains, ont fustigé la stratégie de Joe Biden jugée humiliante, empreinte de honte avec toute cette énergie déployée. Voilà, aujourd'hui, les États-Unis regrettent cet acte du président Biden qui dit ne pas avoir d'autre choix que le retrait des troupes Américaines.
Donald Trump qui, pour sa part, invite le président Biden à la démission, réitère ses capacités à etre celui qui serait en bonne posture pour mener des discussions avec les Taliban.
L'argument avancé par l'administration Biden qui estime que "sans ce retrait des troupes, le pays se serait à nouveau retrouvé en guerre contre les taliban, préférant donc sortir du conflit le plus long de l’Histoire américaine", ne fait pas apparemment l'unanimité. Le président Américain est attendu pour s'exprimer dans les prochaines heures devant les Américains.
C'est une Amérique sidérée par cette tournure des événements et la plupart d'entre eux estiment que c'est une véritable gâchis notamment avec cet effort financier colossal qui aura vu le retour des Taliban. Dans la presse Américaine comme dans la scène politique, le président des États-Unis se voit reprocher son action et la chute de Kaboul. En réalité, l'Amérique 'minimise' l'ampleur de cette percée Taliban qui n'a pas attendu longtemps la déclaration de John Kirby, le porte-parole du ministère de la Défense américain qui rassurait que Kaboul n’est pas, à l’heure actuelle, face à une menace imminente.
Une sortie symptomatique de la communication de Joe Biden et de son administration à propos de la stratégie des États-Unis en Afghanistan. Résultat : depuis quelques jours et plus encore ce lundi 16 août, les critiques pleuvent contre le président, alors que les 2.500 soldats américains tués et les 2.000 milliards de dollars américains dépensés en 20 ans pour soutenir les autorités afghanes aujourd’hui en déroute, ressemblent à un immense gâchis.
Plusieurs médias américains comme le New York Times, The Atlantic ou encore d'autres éditorialistes américains, ont fustigé la stratégie de Joe Biden jugée humiliante, empreinte de honte avec toute cette énergie déployée. Voilà, aujourd'hui, les États-Unis regrettent cet acte du président Biden qui dit ne pas avoir d'autre choix que le retrait des troupes Américaines.
Donald Trump qui, pour sa part, invite le président Biden à la démission, réitère ses capacités à etre celui qui serait en bonne posture pour mener des discussions avec les Taliban.
L'argument avancé par l'administration Biden qui estime que "sans ce retrait des troupes, le pays se serait à nouveau retrouvé en guerre contre les taliban, préférant donc sortir du conflit le plus long de l’Histoire américaine", ne fait pas apparemment l'unanimité. Le président Américain est attendu pour s'exprimer dans les prochaines heures devant les Américains.
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