L'architecte n'a aucunement été tendre avec ceux qui estiment que l'homme d'affaires Roumain a une réputation sulfureuse.
Pou lui, "Il faut arrêter de diaboliser l'homme et penser à revoir la gestion de nos ressources pour l'intérêt du pays".
L'architecte est même allé plus loin en 2012 pour apporter des éclairages : "On s'est retrouvé en Sierra Léone, un pays qui s'est trouvé à 5,6% de croissance économique en 2011 à 51% en 2012 et cela à cause de Frank Timis. Personnellement je n'ai rien contre lui. Quelle que soit sa réputation, il faut savoir gérer ses négociations", rappelle t-il.
Et Atepa de continuer à revoir les contrats car il est "inacceptable que nous nous fassions avoir par quelqu'un qui se procure 10 milliards de dollars sur notre dos", s'indigne l'ancien collaborateur de Wade qui faisait face à la presse après son entretien avec les enquêteurs de la brigade des affaires générales de la Dic.
Pou lui, "Il faut arrêter de diaboliser l'homme et penser à revoir la gestion de nos ressources pour l'intérêt du pays".
L'architecte est même allé plus loin en 2012 pour apporter des éclairages : "On s'est retrouvé en Sierra Léone, un pays qui s'est trouvé à 5,6% de croissance économique en 2011 à 51% en 2012 et cela à cause de Frank Timis. Personnellement je n'ai rien contre lui. Quelle que soit sa réputation, il faut savoir gérer ses négociations", rappelle t-il.
Et Atepa de continuer à revoir les contrats car il est "inacceptable que nous nous fassions avoir par quelqu'un qui se procure 10 milliards de dollars sur notre dos", s'indigne l'ancien collaborateur de Wade qui faisait face à la presse après son entretien avec les enquêteurs de la brigade des affaires générales de la Dic.
Autres articles
-
Scandale des ICS : Abdoul Mbaye encourage le nouveau régime à faire toute la lumière
-
Au Tchad, la fracture Nord-Sud risque de s'aggraver avec la présidentielle
-
Promotion des séries scientifiques au Sénégal : 9 meilleurs élèves en S1 primés
-
TOUBA - Les huiliers et opérateurs de la cité apprécient les mesures prises par l’État lors du conseil interministériel sur l’agriculture
-
Précarité des Jeunes Reporters : « Les patrons de presse foulent au pied les libertés de la presse », (Seydina Abba Guèye, CJRS)