La tournure prise par l’affaire Karim, du nom du dossier de Wade-fils dans la traque des biens mal acquis, ces 48 dernières heures a créé une sorte de phobie sécuritaire à Dakar. En effet, hier, la police était particulièrement visible dans les environs des locaux de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) et de la prison de Rebeuss. En fait, selon le Pop, les renseignements généraux avaient eu vent d’infos selon lesquelles des partisans de Karim voulaient signer un coup d’éclat en semant le désordre dans les environs de la CREI et de la prison de Rebeuss. En quoi faisant ?
Tout simplement en s’invitant devant ces lieux à bord d’un véhicule pour mettre le feu à des pneus, avant de disparaître aussitôt. Le coup d’éclat consistant à faire croire à l’opinion qu’il y a une résistance populaire qui s’organise pour démontrer que le fils de Wade est soutenu et que le peuple est contre sa «prise d’otage». Sauf que l’affaire parvenue aux oreilles indiscrètes de nos flics a permis ces derniers de prendre les devants. Ainsi, les environs de la prison de Rebeuss où Karim est détenu ont été fortement sécurisés, pendant que les abords de la CREI étaient bunkerisés. Plusieurs dizaines de policiers du GMI, armés jusqu’aux dents, à bords de pick-up, ont été déployés devant la CREI où le stationnement tout comme les attroupements ont été interdits par la police durant quasiment toute la journée. Le dispositif a fini par être allégé en fin de journée. Mais selon le journal toujours, une surveillance discrète a été maintenue au niveau de la CREI, tout comme à Rebeuss. Et ce n’est pas tout. La gendarmerie qui gère la sécurité à l’intérieur des locaux de la CREI, a aussi opéré une montée en puissance de son dispositif pour parer à toutes les éventualités.
Tout simplement en s’invitant devant ces lieux à bord d’un véhicule pour mettre le feu à des pneus, avant de disparaître aussitôt. Le coup d’éclat consistant à faire croire à l’opinion qu’il y a une résistance populaire qui s’organise pour démontrer que le fils de Wade est soutenu et que le peuple est contre sa «prise d’otage». Sauf que l’affaire parvenue aux oreilles indiscrètes de nos flics a permis ces derniers de prendre les devants. Ainsi, les environs de la prison de Rebeuss où Karim est détenu ont été fortement sécurisés, pendant que les abords de la CREI étaient bunkerisés. Plusieurs dizaines de policiers du GMI, armés jusqu’aux dents, à bords de pick-up, ont été déployés devant la CREI où le stationnement tout comme les attroupements ont été interdits par la police durant quasiment toute la journée. Le dispositif a fini par être allégé en fin de journée. Mais selon le journal toujours, une surveillance discrète a été maintenue au niveau de la CREI, tout comme à Rebeuss. Et ce n’est pas tout. La gendarmerie qui gère la sécurité à l’intérieur des locaux de la CREI, a aussi opéré une montée en puissance de son dispositif pour parer à toutes les éventualités.
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