Abdou Aziz Guèye a été jugé hier par le tribunal des flagrants délits de Dakar pour le délit d’abus de confiance portant sur la somme de 44 millions de francs Cfa. Ainsi, il risque deux ans d’emprisonnement dont un an ferme si toutefois le juge, en rendant son délibéré le 03 avril prochain, suit le parquet dans ses réquisitions. Le prévenu a roulé dans la farine la dame Rachelle Basse en lui soutirant le montant susmentionné. Ayant longtemps vécu en France, la dame a décidé de rentrer au bercail pour y investir.
C’est ainsi qu’elle a rencontré Abdou Aziz Guèye, chef d’entreprise immobilier, qui lui a promis de l’aider. «Je voulais investir dans le secteur immobilier quand je suis rentrée au bercail. J’ai ainsi rencontré Abdou Aziz Guèye qui m’a fait savoir qu’on peut travailler ensemble. C’est ainsi que je lui ai remis le montant de 32 millions de francs Cfa ainsi que deux véhicules pour qu’on puisse débuter nos activités. Mais, il a pris la tangente quand il est en train en possession de l’argent. Il a fallu d’intenses recherches pour que l'éléments enquêteurs puissent mettre la main sur lui», a expliqué la dame.Des allégations balayées d’un revers de la main par le prévenu qui déclare : «Elle ne m’a jamais remis de l’argent». Seulement, il y a un paradoxe car, il a signé un acte de reconnaissance de dette à la partie civile. «Elle m’a remis juste 32 millions et je suis prêt à lui rembourser cela», rectifie-t-il. Les avocats de la partie civile, après avoir dépeint le mis en cause comme «un truand hors pair», ont, dans leurs plaidoiries, réclamé la somme de 50 millions de francs Cfa en guise de dommages et intérêts. Idem pour le procureur qui considère que le prévenu est coutumier des faits d’autant que ce n’est pas la première fois qu’il est attrait à la barre pour des faits similaires.
Sur ce, il a demandé la requalification des faits en escroquerie et faux et usage de faux avant de requérir 2 ans dont un an ferme contre lui. Alors que les avocats de la défense ont plaidé la clémence pour leur client. L’affaire est mise en délibérée jusqu’au 03 avril.
C’est ainsi qu’elle a rencontré Abdou Aziz Guèye, chef d’entreprise immobilier, qui lui a promis de l’aider. «Je voulais investir dans le secteur immobilier quand je suis rentrée au bercail. J’ai ainsi rencontré Abdou Aziz Guèye qui m’a fait savoir qu’on peut travailler ensemble. C’est ainsi que je lui ai remis le montant de 32 millions de francs Cfa ainsi que deux véhicules pour qu’on puisse débuter nos activités. Mais, il a pris la tangente quand il est en train en possession de l’argent. Il a fallu d’intenses recherches pour que l'éléments enquêteurs puissent mettre la main sur lui», a expliqué la dame.Des allégations balayées d’un revers de la main par le prévenu qui déclare : «Elle ne m’a jamais remis de l’argent». Seulement, il y a un paradoxe car, il a signé un acte de reconnaissance de dette à la partie civile. «Elle m’a remis juste 32 millions et je suis prêt à lui rembourser cela», rectifie-t-il. Les avocats de la partie civile, après avoir dépeint le mis en cause comme «un truand hors pair», ont, dans leurs plaidoiries, réclamé la somme de 50 millions de francs Cfa en guise de dommages et intérêts. Idem pour le procureur qui considère que le prévenu est coutumier des faits d’autant que ce n’est pas la première fois qu’il est attrait à la barre pour des faits similaires.
Sur ce, il a demandé la requalification des faits en escroquerie et faux et usage de faux avant de requérir 2 ans dont un an ferme contre lui. Alors que les avocats de la défense ont plaidé la clémence pour leur client. L’affaire est mise en délibérée jusqu’au 03 avril.
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