Abdou Karim Sall, le DG de l'ARTP et responsable politique de l'APR dans la banlieue, a marqué de sa présence à la conférence annuelle des femmes à Djeddah Thiaroye Kaw.
Parlant de sa présence, il déclare : "Je voudrais rendre grâce à Dieu et remercier les populations de Djeddah Thiaroye Kaw mais aussi le mouvement 'Aar Sama Gokh' qui a été à l'initiative des actions que nous avons entreprises depuis le début du mois de Ramadan. Des actions qui consistent à faire le tour de l'ensemble des communes du département pour apporter notre contribution aux populations les plus démunies.
Aujourd'hui, nous sommes à Djeddah Thiaroye Kaw pour participer à l'achèvement des travaux de construction d'une mosquée. Nous sommes inscrits dans le prolongement des actions de Son Excellence le Président Macky Sall qui a mis en oeuvre un programme allant dans le sens d'intervenir dans les maisons ou dans les foyers religieux. Le président ne pouvant pas aller partout, nous qui sommes à la base, nous intervenons pour être aux côtés des populations pour assurer les actions de Macky Sall."
Abdou Karim Sall d'ajouter : "on a vu la première dame faire un travail remarquable et cela ne nous surprend pas. Le président a donné des indications depuis longtemps en demandant aux responsables du parti d'être aux côtés des populations. C'est donc notre devoir d'être aux côtés des populations et de les assister. On doit suivre les indications du président de la République en direction des daaras, des mosquées et des lieux saints en général. En ce qui nous concerne, nous suivons ces indications à la lettre pour satisfaire les besoins des populations"
Sur la libération de Karim Wade, Abdou Karim Sall déclare : "Je ne peux pas encore faire de commentaire à ce sujet car on parle de décret alors que moi je n'ai pas vu ce décret, donc je ne peux pas trop avancer là dessus. Tout ce que je peux dire, c'est que cela entre dans le périmètre des prérogatives du président de la République de gracier un condamné. Si le président Macky Sall gracie Karim Wade, ce ne sera pas une première. La grâce présidentielle n'a pas commencé avec Karim Wade et cela ne se terminera pas avec lui. Je pense que le président a la lucidité qu'il faut pour analyser la situation du Sénégal et prendre les mesures qu'il faut et au moment qu'il le jugera nécessaire. Je ne suis ni pour ni contre, je suis pour la décision que prendra le président de la République."
Confusion de la mouvance présidentielle sur la libération de Karim Wade, Karim Sall se veut clair : " le président ne fonctionne pas sur la base d'un compagnonnage de conditions. Le président est en coalition avec Benno Bokk Yakaar et je pense qu'il respecte toujours les engagements qu'il avait pris depuis le début. Il a appelé au dialogue pour une discussion franche sur des questions qui intéressent et peuvent faire avancer le pays. C'est une action à saluer. Le reste, je ne vais pas me prononcer là dessus."
Parlant de sa présence, il déclare : "Je voudrais rendre grâce à Dieu et remercier les populations de Djeddah Thiaroye Kaw mais aussi le mouvement 'Aar Sama Gokh' qui a été à l'initiative des actions que nous avons entreprises depuis le début du mois de Ramadan. Des actions qui consistent à faire le tour de l'ensemble des communes du département pour apporter notre contribution aux populations les plus démunies.
Aujourd'hui, nous sommes à Djeddah Thiaroye Kaw pour participer à l'achèvement des travaux de construction d'une mosquée. Nous sommes inscrits dans le prolongement des actions de Son Excellence le Président Macky Sall qui a mis en oeuvre un programme allant dans le sens d'intervenir dans les maisons ou dans les foyers religieux. Le président ne pouvant pas aller partout, nous qui sommes à la base, nous intervenons pour être aux côtés des populations pour assurer les actions de Macky Sall."
Abdou Karim Sall d'ajouter : "on a vu la première dame faire un travail remarquable et cela ne nous surprend pas. Le président a donné des indications depuis longtemps en demandant aux responsables du parti d'être aux côtés des populations. C'est donc notre devoir d'être aux côtés des populations et de les assister. On doit suivre les indications du président de la République en direction des daaras, des mosquées et des lieux saints en général. En ce qui nous concerne, nous suivons ces indications à la lettre pour satisfaire les besoins des populations"
Sur la libération de Karim Wade, Abdou Karim Sall déclare : "Je ne peux pas encore faire de commentaire à ce sujet car on parle de décret alors que moi je n'ai pas vu ce décret, donc je ne peux pas trop avancer là dessus. Tout ce que je peux dire, c'est que cela entre dans le périmètre des prérogatives du président de la République de gracier un condamné. Si le président Macky Sall gracie Karim Wade, ce ne sera pas une première. La grâce présidentielle n'a pas commencé avec Karim Wade et cela ne se terminera pas avec lui. Je pense que le président a la lucidité qu'il faut pour analyser la situation du Sénégal et prendre les mesures qu'il faut et au moment qu'il le jugera nécessaire. Je ne suis ni pour ni contre, je suis pour la décision que prendra le président de la République."
Confusion de la mouvance présidentielle sur la libération de Karim Wade, Karim Sall se veut clair : " le président ne fonctionne pas sur la base d'un compagnonnage de conditions. Le président est en coalition avec Benno Bokk Yakaar et je pense qu'il respecte toujours les engagements qu'il avait pris depuis le début. Il a appelé au dialogue pour une discussion franche sur des questions qui intéressent et peuvent faire avancer le pays. C'est une action à saluer. Le reste, je ne vais pas me prononcer là dessus."
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