Le président de l’interprofession de la filière avicole du Sénégal (IPAS) Babacar N'gom a annoncé lors de l’Atelier de réflexion avec les transporteurs aériens sur le transport des poussins d’un jour, que notre pays était autosuffisant dans la production de poussins d’un jour.
Cet atelier était organisé par l’Union des organisations de la filière avicole des pays de l’UEMOA. « On ne connait pas ce genre de problème au Sénégal, on est arrivé à l’autosuffisance en poussins d’un jour.
Nous sommes en position d’exporter des poussins dans la sous-région. » a-t-il dit. Ce qui n’est pas le cas de beaucoup d’autres pays Africains cependant. Le ministre de l’élevage Aminata M'bengue N'diaye de rappeler que dans un souci de préservation de la santé animale et celle publique au niveau des échanges mondiaux, le code sanitaire dispose de conditions particulières applicables aux importations. Ces dispositions de l’organisation internationale de la santé animale trouvent tout leur sens dans la sous-région où la complexité des itinéraires expose les poussins à des baisses de viabilité et de performance pendant leur élevage, « ce qui est une des contraintes aux échanges de poussins d’un jour dans le domaine, entre les deux pays ».
Babacar N'gom, le Président de l’interprofession d’expliquer donc que les résultats attendus sont que les pays enclavés puissent recevoir des excédents de pays comme le Sénégal ou la Côte d’Ivoire. « Mais la difficulté c’est le transport aérien et c’est pour cela que nous les avons invités aujourd’hui pour réfléchir sur cette problématique ».
Revenant sur l’importance de ce secteur, Aminata M'bengue N'diaye d’indiquer que l’aviculture a généré plus de 72 milliards en 2012. « L’aviculture revêt une grande importance socio- économique pour le Sénégal et l’Afrique de l’Ouest. De type moderne, elle est pourvoyeuse de plus de 30.000 emplois et en 2012 elle a généré un chiffre d’affaires de plus de 72 milliards. La filière a connu une période de forte croissance stoppée dans les années 90, avec l’avènement de la mesure du tarif extérieur commun » notera t-elle cependant.
Ce qui fera dire au ministre que la promotion de la filière constitue une priorité dans le programme Sénégal Emergent. « La stratégie repose sur le développement accéléré de l’agriculture à travers les axes suivants : l’amélioration de la productivité et de la compétitivité de l’aviculture, la création d’un environnement favorable au développement de la filière, le renforcement des infrastructures de transformation, de conservation et de commercialisation des produits avicoles avec une meilleure intégration dans la filière industrielle... »
Cet atelier était organisé par l’Union des organisations de la filière avicole des pays de l’UEMOA. « On ne connait pas ce genre de problème au Sénégal, on est arrivé à l’autosuffisance en poussins d’un jour.
Nous sommes en position d’exporter des poussins dans la sous-région. » a-t-il dit. Ce qui n’est pas le cas de beaucoup d’autres pays Africains cependant. Le ministre de l’élevage Aminata M'bengue N'diaye de rappeler que dans un souci de préservation de la santé animale et celle publique au niveau des échanges mondiaux, le code sanitaire dispose de conditions particulières applicables aux importations. Ces dispositions de l’organisation internationale de la santé animale trouvent tout leur sens dans la sous-région où la complexité des itinéraires expose les poussins à des baisses de viabilité et de performance pendant leur élevage, « ce qui est une des contraintes aux échanges de poussins d’un jour dans le domaine, entre les deux pays ».
Babacar N'gom, le Président de l’interprofession d’expliquer donc que les résultats attendus sont que les pays enclavés puissent recevoir des excédents de pays comme le Sénégal ou la Côte d’Ivoire. « Mais la difficulté c’est le transport aérien et c’est pour cela que nous les avons invités aujourd’hui pour réfléchir sur cette problématique ».
Revenant sur l’importance de ce secteur, Aminata M'bengue N'diaye d’indiquer que l’aviculture a généré plus de 72 milliards en 2012. « L’aviculture revêt une grande importance socio- économique pour le Sénégal et l’Afrique de l’Ouest. De type moderne, elle est pourvoyeuse de plus de 30.000 emplois et en 2012 elle a généré un chiffre d’affaires de plus de 72 milliards. La filière a connu une période de forte croissance stoppée dans les années 90, avec l’avènement de la mesure du tarif extérieur commun » notera t-elle cependant.
Ce qui fera dire au ministre que la promotion de la filière constitue une priorité dans le programme Sénégal Emergent. « La stratégie repose sur le développement accéléré de l’agriculture à travers les axes suivants : l’amélioration de la productivité et de la compétitivité de l’aviculture, la création d’un environnement favorable au développement de la filière, le renforcement des infrastructures de transformation, de conservation et de commercialisation des produits avicoles avec une meilleure intégration dans la filière industrielle... »
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