La lutte lougatoise est endeuillée par le décès d’Abou Malien alias L’An 2000 de l’écurie Bayakh. Ce décès remet sur la table la lancinante question de la précarité des artistes et des lutteurs laissés à eux-mêmes, sans aucune assistance sociale. La prise en charge médicale par l’Etat est une vielle doléance toujours rabâchée à l’occasion de la disparition d’une célébrité sportive ou musicale.
La mort intervient comme c’est souvent le cas après une longue maladie, comme celle qui a terrassé le lutteur Abou Malien alias L’An 2000 alité pendant une longue semaine.
Renvoyé la première fois à cause d’un méchant abcès du lutteur lougatois, son combat contre Sa Thiès de l’écurie Diamaguène a été reprogrammé.
Au retour d’une séance de contact, le lutteur jovial, toujours prêt à échanger des amabilités, avait pris part à un autre entrainement d’amis footballeurs. Un contact appuyé lui a occasionné une fêlure. Il devait trouver un rebouteur dans la zone nord pour une éventuelle radiographie complète, après un diagnostic négatif à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga.
Malheureusement, le véhicule est tombé en panne un peu avant la destination finale. La mort était au rendez-vous. De là, il a été acheminé directement dans son village natal, au Fouta.
Ce lutteur Haalpuular d’adoption Lougatoise méritait un meilleur sort pour la revalorisation folklorique de la lutte, ce sport bien de chez nous.
La mort intervient comme c’est souvent le cas après une longue maladie, comme celle qui a terrassé le lutteur Abou Malien alias L’An 2000 alité pendant une longue semaine.
Renvoyé la première fois à cause d’un méchant abcès du lutteur lougatois, son combat contre Sa Thiès de l’écurie Diamaguène a été reprogrammé.
Au retour d’une séance de contact, le lutteur jovial, toujours prêt à échanger des amabilités, avait pris part à un autre entrainement d’amis footballeurs. Un contact appuyé lui a occasionné une fêlure. Il devait trouver un rebouteur dans la zone nord pour une éventuelle radiographie complète, après un diagnostic négatif à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga.
Malheureusement, le véhicule est tombé en panne un peu avant la destination finale. La mort était au rendez-vous. De là, il a été acheminé directement dans son village natal, au Fouta.
Ce lutteur Haalpuular d’adoption Lougatoise méritait un meilleur sort pour la revalorisation folklorique de la lutte, ce sport bien de chez nous.
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