L’Affaire Arcelor Mittal continue encore de faire couler beaucoup d’encre. En dépit des explications «claires et nettes» du Premier ministre, certains députés restent toujours sur leur faim concernant ce dossier.
Lors du vote de la seconde Lfr, le sujet a été quasiment abordé par tous les intervenants, notamment les représentants de l’opposition et leurs collègues non-inscrits. Ces députés ont invité le ministre des Finances à éclairer encore leur lanterne sur la somme totale reçue dans cette affaire, le rôle joué par l’agent judiciaire de l’Etat dans le processus de règlement de ce contentieux, mais également sur la présence de cette somme dans les trois lois de finance.
Prenant la parole, le ministre Amadou Bâ a tenu tout d’abord à préciser, à l’endroit des élus du peuple, que l’Etat n’était pas obligé de retracer cette somme dans une loi de finances rectificative. Car, selon lui, cet argent pouvait être utilisé dans les dépenses courantes de l’Etat par un simple arrêté de son ministère. Toutefois, le ministre a tenu à préciser que l’Etat a pris l’option d’utiliser les ressources issues de ce contentieux pour des dépenses d’investissement. «Nous avons préféré gérer les problèmes courants des Sénégalais avec de ressources courantes. Et utiliser les ressources exceptionnelles pour financer les projets exceptionnels », dixit-Amadou Bâ avant de rappeler par ailleurs que l’Etat n’a pas encore reçu la facture du tribunal de Paris, dans le contentieux en question.
Lors du vote de la seconde Lfr, le sujet a été quasiment abordé par tous les intervenants, notamment les représentants de l’opposition et leurs collègues non-inscrits. Ces députés ont invité le ministre des Finances à éclairer encore leur lanterne sur la somme totale reçue dans cette affaire, le rôle joué par l’agent judiciaire de l’Etat dans le processus de règlement de ce contentieux, mais également sur la présence de cette somme dans les trois lois de finance.
Prenant la parole, le ministre Amadou Bâ a tenu tout d’abord à préciser, à l’endroit des élus du peuple, que l’Etat n’était pas obligé de retracer cette somme dans une loi de finances rectificative. Car, selon lui, cet argent pouvait être utilisé dans les dépenses courantes de l’Etat par un simple arrêté de son ministère. Toutefois, le ministre a tenu à préciser que l’Etat a pris l’option d’utiliser les ressources issues de ce contentieux pour des dépenses d’investissement. «Nous avons préféré gérer les problèmes courants des Sénégalais avec de ressources courantes. Et utiliser les ressources exceptionnelles pour financer les projets exceptionnels », dixit-Amadou Bâ avant de rappeler par ailleurs que l’Etat n’a pas encore reçu la facture du tribunal de Paris, dans le contentieux en question.
Autres articles
-
Distribution de l’eau : la SEN’EAU annonce encore des perturbations à Rufisque et Thiès.
-
TikTok Lite : La commission européenne évoque « un risque grave » pour la santé mentale
-
Opérations pré hivernage: « 25000 mètres linéaires sur plus de 109000 déjà curés à Dakar ». ( Fatoumata F. FAYE, SG ONAS)
-
Chambre Correctionnel : L’affaire Awa Baba Thiam et Salimata Sow renvoyée au 13 juin prochain
-
Thiès/ instauration de la journée continue dans les établissements scolaires: Un véritable casse-tête pour les potaches